Ce qui nous guide

L’impact le plus important d’un éditeur comme Bayard réside dans sa force de sensibilisation et de construction de nouveaux imaginaires, qui contribuent à l’émergence d’un futur souhaitable et possible.

Engagés pour le bien commun, soucieux de la nature et des générations prochaines, nous croyons au pouvoir libérateur d’une information juste, de l’imagination et de la création qui nourrissent l’âme et la vie. Malgré la dureté des temps, nous pensons avec lucidité et espérance qu’un meilleur vivre ensemble est possible. Nous pensons pouvoir y contribuer par la production de récits et d’informations qui fournissent les clés de compréhension et les ressources pour agir, à chaque âge de la vie.

À travers toutes nos offres, papier ou numériques, servicielles ou événementielles, imprimées ou audiovisuelles… nous proposons un regard ouvert sur l’actualité et une vision positive de la vie.

Pourtant, nos activités ont une réalité bien physique, matérialisée par notre empreinte environnementale et, en tant qu’entreprise, nous avons une responsabilité sociale et économique vis-à-vis de l’ensemble de nos parties prenantes. Ainsi, tout en assurant notre pérennité économique, nous devons pouvoir répondre à ce quadruple objectif d’impact : social, sociétal, économique et environnemental, sans opposer les notions ni les hiérarchiser, sans que l’une ne nous dédouane d’agir en faveur de l’autre.

Dans un monde en transition, cet impératif nous place face à des dilemmes et ne pourra se concevoir sans renoncement. Mais, chez Bayard, nous pensons que la contrainte crée l’innovation, que les fragilités sont une force et que des bifurcations peuvent naître d’autres formes de progrès et de développement.

Aujourd’hui, de nombreuses initiatives sont engagées mais la route est encore longue si nous voulons agir à la hauteur des enjeux que nous traversons. Portés par l’exigence de cohérence de nos lecteurs-clients, l’engagement des équipes, de tous nos contributeurs, de nos partenaires, fournisseurs et prestataires, et mus par une certaine idée de la vie, nous nous engageons à promouvoir, vivre et réussir la grande transition écologique, socio-économique et humaniste, avec humilité, clairvoyance et ambition.

Gouvernance RSE

Orienté par sa mission d’entreprise, Bayard a construit depuis de nombreuses années une démarche RSE ambitieuse, en se dotant notamment d’outils de pilotage (matrice de matérialité, analyse de risques et Bilan carbone de ses activités). Cependant, la création d’une direction RSE en mai 2021, souligne la volonté du groupe d’aller au-delà de son action corrective en incluant, au cœur de sa stratégie, au moment où se dessinent et se décident les projets, la prise en compte de leurs impacts sociaux et environnementaux.

Ce nouvel élan marque pour Bayard, le passage d’une démarche normative à une démarche stratégique et plus ambitieuse que ce que la loi impose. Cette orientation élargit le champ de responsabilité des managers et des équipes.

Pour mener à bien sa mission, le socle RSE de l’entreprise se doit d’être solide et structuré. Ainsi, nous avons identifié un certain nombre de grands chantiers prioritaires à mettre en œuvre à moyen terme, calés sur les grandes orientations stratégiques du groupe. Chacun de ses grands chantiers se déclinent en plan d’action et s’appuie sur une feuille de route opérationnelle calée sur l’exercice budgétaire, assortie d’objectifs en lien avec les objectifs économiques.

Ces chantiers sont de tous ordres, environnementaux, sociétaux ou sociaux, définissent et orientent la stratégie RSE. Pour chacun d’entre eux, des leviers d’action ont été identifiés, une méthodologie partagée, un plan d’action activé et des ressources financières et humaines sont mobilisées.

La démarche s’appuie sur un ambitieux programme de formation à destination de l’ensemble du groupe : fonctions éditoriales et support, à tous les niveaux de responsabilité.

La Direction de la RSE est rattachée au Directoire du groupe, elle est partie-prenante du comité de direction et du comité exécutif, elle anime un comité RSE ouvert à tous et participatif tous les deux mois.

Notre engagement sociétal

Informer, éduquer, éveiller les consciences en créant des liens qui donnent à chacun la capacité d’agir et de se révéler

Les grandes orientations des lignes éditoriales de nos titres de presse, de nos livres et de nos productions numériques et audiovisuelles :

Comprendre le monde et donner les clés pour agir
  • Produire l’information, les récits et les imaginaires qui fournissent les clés de compréhension et les ressources pour agir.
  • Partager les raisons de ne pas désespérer et lutter contre un sentiment d’impuissance.
  • Apporter de la nuance dans un monde complexe et un paysage d’informations en continu qui favorise les clivages artificiels et les positions extrêmes.
  • Apporter un soin particulier à faire entrer nos lecteurs dans les sujets, quelle que soit leur connaissance initiale, sans simplifier ni affirmer.
  • Donner à comprendre comment l’information est créée, comment y accéder et comment la décrypter, faire de l’éducation aux médias un enjeu essentiel de démocratie auprès de toutes les générations.
Le plaisir de lire pour apprendre et créer tout au long de sa vie
  • Provoquer la joie par la découverte, la compréhension, l’humour et la surprise.
  • Renforcer les compétences, la créativité, et développer les imaginaires tout au long de la vie.
  • Donner à chacun la possibilité de se construire son propre récit du monde en reliant passé, présent et futur.
  • Accompagner les enfants pour qu’ils grandissent en confiance, les aider à connaître et défendre leurs droits, à trouver leur place dans le monde de demain.
Grandir et être soi
  • Apprendre à mieux se connaître soi-même, mieux comprendre les autres et s’ouvrir au monde qui nous entoure.
  • Cultiver son intériorité pour mieux vivre avec les autres, se ressourcer et nourrir sa réflexion.
  • Favoriser l’épanouissement de toutes les promesses que chacun d’entre nous porte en lui.
  • Accueillir toutes les questions étonnantes, parfois difficiles, toujours essentielles, sur la vie, le monde et Dieu.
  • S’attacher à ne pas y apporter de réponses définitives, mais chercher à donner des pistes de réflexion, à poursuivre les questionnements et susciter leur approfondissement.
Créer des liens fertiles
  • Accompagner le débat public en dialoguant avec tous : aller sur le terrain avant de trancher, écouter avant de juger, raconter avant de conclure.
  • Permettre à nos lecteurs de croiser d’autres vies que la leur et contribuer à l’épanouissement d’une société de lien et de dialogue tout au long de la vie.
  • Considérer nos vulnérabilités comme des forces et des promesses.
  • Favoriser les découvertes, les dialogues, les rencontres entre les cultures, les religions, les générations, les territoires et les identités, en apprenant à dépasser nos peurs, à se nourrir de nos différences.
Engager la transition écologique, humaine et sociale
  • Raconter le monde tel qu’il est avec lucidité et confiance, montrer tout ce qui avance et ce qu’il est possible de faire.
  • Produire l’information, les récits et les imaginaires qui fournissent les clés de compréhension et les ressources pour agir.
  • Sensibiliser aux enjeux de transitions quels que soient l’âge, les idées et le niveau de connaissance de nos lecteurs ; adapter ton et discours à chacun de nos publics.

À l’image de l’encyclique du pape « Laudato si’ », nous défendons une écologie intégrale où dignité humaine, justice sociale et soin de la Terre sont indissociables, où les enjeux sociaux et sociétaux sont aussi importants que les enjeux environnementaux.

Notre engagement environnemental

Notre engagement d’entreprise : faire notre part, agir en cohérence avec notre ligne éditoriale, construire les outils pour guider nos choix et atteindre nos objectifs ; agir en cohérence avec notre ligne éditoriale qui façonne notre impact sociétal.

Nous avons à cœur de garantir la symétrie entre l’attention que nous portons à ce que nous écrivons dans nos publications et la façon dont ces dernières sont produites.

Notre entreprise, par son histoire et son projet, se doit de porter cette double responsabilité par des actions concrètes et exemplaires, mais aussi avec une grande humilité tant les enjeux sont complexes, interdépendants et créateurs de dilemmes.

Il serait compliqué de définir le point de départ de notre engagement écologique en matière de production : même si la préservation des ressources et le devoir de vigilance envers nos fournisseurs ont toujours été une ligne de fond, la recherche de la qualité au moindre coût a longtemps guidé nos choix industriels.

Comme beaucoup, nous avons démarré par des actions au sein même de Bayard et mis en place toute une série d’écogestes et de bonnes pratiques pour vivre et travailler ensemble, en cohérence avec notre engagement éditorial. Premiers pas indispensables vers un engagement plus large et systémique.

Plus tard et pour aller plus loin, nous avons réalisé un premier bilan carbone® de nos activités jeunesse en 2008. Cette initiative et les actions qui en ont découlées ont posé les jalons d’un mouvement qui s’est amplifié dans le temps, concomitamment avec la prise de conscience de la société sur les enjeux écologiques que nous traversons.

En 2018, l’élaboration d’une analyse de matérialité, complétée par un bilan carbone® de l’ensemble de nos activités en France (scopes 1, 2 et 3) réalisé avec le cabinet Carbone 4, nous a permis d’identifier les grands enjeux pour le groupe et d’établir un plan d’action ambitieux sur le plan environnemental.

Cette même année, nous avons élaboré une charte d’achats responsables, conscients de la place toute particulière de nos achats et de notre chaîne d’approvisionnement dans les impacts environnementaux liés à nos activités. Nous avons également choisi d’adhérer aux organismes Ecovadis, plateforme d’évaluation des performances RSE et achats responsables et Book Chain Project, organisme dédié au livre, qui source notamment l’origine des papiers et pâtes à papier, l’utilisation des matériaux et produits.

En 2020, nous avons construit un outil de mesure de notre empreinte carbone qui éclaire nos choix industriels en calculant les émissions de CO2 liées aux différentes solutions d’approvisionnement ou de fabrication de nos titres de presse, depuis la production du papier jusqu’à la livraison des magazines (achat papier, localisation de la production, impression, etc.). Cette calculette nous permet d’arbitrer entre des choix d’économie et des choix de réduction de nos émissions de CO2. Parfois les écarts de prix sont faibles entre deux solutions identiques et le choix de la solution la moins émettrice de CO2 est aisé à prendre. Les choses se compliquent quand une solution plus vertueuse est beaucoup plus coûteuse et nous met face à un choix difficile. Pour affronter ce type de dilemme, nous avons choisi de dédier un budget d’investissement spécifique, en posant un prix de 100 € pour une tonne de carbone émise, qui nous permet de financer le surcoût entraîné par les choix plus vertueux sur le plan écologique, mais plus coûteux sur le plan économique. Cette calculette permet le calcul objectif des émissions CO2 d’un scénario industriel de production papier presse. Nous sommes en train de construire le même outil pour la production de nos livres.

En 2021, nous avons réactualisé notre bilan carbone® sur des pans de notre activité où les enjeux de décarbonation étaient importants et en 2022, nous avons réalisé un bilan carbone® spécifique de nos activités numériques. En effet, alors que les productions éditoriales et les usages se numérisent et sachant leur impact est loin d’être immatériel, il nous a semblé important d’établir ce bilan, de définir des leviers et les plans d’action afin de pouvoir piloter notre stratégie de développement numérique dans une logique d’écoresponsabilité et de sobriété.

Cette démarche, que nous devons sans cesse poursuivre et réactualiser, a nécessité de revisiter l’ensemble des cycles de vie de nos productions afin d’en atténuer les impacts environnementaux et plus particulièrement les émissions de CO2.

Ainsi, nous avons fixé une trajectoire de réduction de nos émissions de CO2 de -50% à Horizon 2030 en lien avec les Accords de Paris. Nous savons combien cet objectif sera difficile à atteindre, qu’il ne se concevra pas sans renoncement ni bifurcation importante. Cependant, même si nous sommes mus par l’urgence d’agir et de faire notre part, n’oublions jamais que la diffusion de l’information et des récits, la circulation des idées et des imaginaires sont la pierre angulaire de toute société démocratique et qu’ils contribuent à changer le monde. Ainsi, nous devons concilier ces deux impératifs : poursuivre la décarbonation de notre activité et la préservation des ressources et du vivant sans mettre en péril la création.

Dans cette optique nous veillons à :

  • peser chacune de nos décisions à l’aune de ce double impératif tout en acceptant nos dilemmes, en cherchant sans cesse des solutions, en inventant de nouvelles médiations ;
  • à intégrer nos parties prenantes (fournisseurs, partenaires, etc.) à chaque étape de nos réflexions pour imaginer avec eux les solutions nouvelles, possibles et constructives pour chacun ;
  • à prendre en compte le point de vue de nos lecteurs-clients qui nous interpellent sur ces questions, nous poussent à aller plus loin et à tenir la cohérence de notre projet.

Notre engagement social

Dans un même mouvement de cohérence entre les mots que nous adressons à nos lecteurs et les choix de production que nous faisons, nous portons une attention particulière aux liens que nous entretenons avec nos collaborateurs, nos fournisseurs et nos partenaires.

D’une manière générale, notre responsabilité sociale, sociétale et environnementale ne pourra s’accomplir que dans la coopération et le dialogue avec l’ensemble de nos parties prenantes : lecteurs, salariés, contributeurs, partenaires de tous horizons et fournisseurs. C’est dans le croisement des talents, des métiers, des contributions de chacun et des convictions de l’entreprise que se forge le changement.
Notre actionnaire fondateur a choisi de ne pas percevoir de dividende et porte une exigence de rentabilité raisonnable vis-à-vis de l’entreprise. Elle doit être suffisante pour pérenniser notre indépendance, garante d’une parole fiable et crédible pour nos publics, et permettre de poursuivre nos investissements. Ainsi, chaque année, chaque euro gagné est réinvesti dans la création.

Une politique sociale basée sur le collectif et l’équité

Les questions d’égalité professionnelle (rémunération, déroulement de carrière et respect des personnes), de transparence et d’équité ; mais aussi l’importance du maintien d’un dialogue social de qualité ; la coopération et la solidarité ; et enfin, celle du management (exemplarité, confiance, responsabilité, délégation et subsidiarité) constituent le socle de notre pacte social.

Aujourd’hui, tout n’est pas parfait. Certains enjeux, comme celui de la diversité au sein du groupe, sont encore à accomplir ou à accélérer et toujours, nous nous devons de tenir le cap là où nous avons acquis une certaine maturité qui nous singularise.

Nous posons un principe de solidarité très fort entre les secteurs de l’entreprise en étant attentifs à traiter avec autant de soin les secteurs en difficulté que les plus florissants, afin que les salariés, où qu’ils travaillent, se sentent également considérés. Nous cherchons aussi en permanence à susciter la conscience de l’interdépendance entre les secteurs et les métiers.

Le programme Ressources humaines de Bayard déployé en 2018 en entérinant la suppression des entretiens individuels d’évaluation au profit d’entretiens individuels et collectifs, plus réguliers et plus féconds, marque la volonté d’accompagner en continu chacun d’entre nous dans son développement professionnel tout en :

  • valorisant et facilitant le travail en équipe ;
  • créant les conditions favorables aux échanges constructifs tout au long de l’année ;
  • prenant en compte les dimensions transversales et collectives de nos activités ou projets.

La politique de rémunération se doit d’être cohérente avec cette dimension de solidarité et du collectif. Ainsi, à Bayard, il y a peu de rémunérations variables. Quand elles existent, elles sont fondées sur les résultats de l’ensemble de l’entreprise, non sur celui du secteur d’appartenance.

La politique d’augmentation donne une place significative aux augmentations collectives négociées avec les organisations syndicales. Cette place donnée à la reconnaissance égalitaire, y compris quand le contexte économique est difficile, contraste avec la politique salariale très individualisée de certaines entreprises. Une attention et un effort particuliers sont portés chaque année sur les plus bas salaires. Ainsi, dans le cadre des accords d’entreprise portant sur la Négociation annuelle obligatoire, les augmentations les plus importantes sont réservées aux salaires les plus bas, ainsi que sur la réévaluation du salaire minimum d’embauche et du barème minimal de piges.

Enfin, nous nous attachons à restreindre les écarts de salaire : entre les 10 plus hauts et les 10 plus bas, le coefficient multiplicateur de 7,3, ce qui est relativement faible au regard de la pratique générale des entreprises.

La recherche de qualité du dialogue social avec les organisations syndicales est un fondement de notre politique sociale. Même si, du côté de la direction comme des syndicats, nous ne réussissons pas toujours à lever toutes les oppositions et à se départir de nos postures de retranchement, nous signons à Bayard beaucoup d’accords d’entreprise et nous mettons toute notre énergie, de part et d’autre, à conserver des relations constructives et de qualité.

Partenaires et fournisseurs : tisser des relations de confiance et de coopération, mener une politique d’achats responsable et tenir notre devoir de vigilance

À l’heure des défis écologiques, de la responsabilité et du devoir de vigilance que nous avons vis-à-vis de nos prestataires, il est plus que jamais crucial de maintenir les relations de confiance que nous avons tissées avec eux au fil des ans et d’accélérer les coopérations qui permettront de trouver ensemble les solutions nouvelles pour une transition réussie.

Notre Charte d’achats responsables nous guide et nous oblige à s’assurer des bonnes pratiques et conditions de travail de nos fournisseurs et prestataires, ainsi que de la mise en place d’actions en vue d’améliorer la protection et limiter la précarisation de leurs employés.

Nous avons évidemment une vigilance toute particulière en cas de sous-traitance de prestations de service.

Ainsi, nous nous engageons à sélectionner nos fournisseurs et partenaires de manière impartiale, sur la base de critères transparents et précis déclinés dans nos grilles de sélection par catégorie d’achats. Nous nous engageons également à veiller à éviter tout lien de dépendance économique avec nos fournisseurs.

La lutte contre la corruption

Les exigences de la loi du 9 décembre 2016 dite « Loi Sapin 2 » relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique sont l’occasion de formaliser des règles appliquées depuis des années dans la conduite des affaires du groupe.
L’article 17 de la Loi Sapin 2 impose en effet aux entreprises de taille intermédiaire – dont Bayard fait partie – de mettre en place en interne des mesures préventives anticorruption. Ainsi, afin de définir et repérer les différents types de comportements à proscrire, un Code de bonne conduite établi en 2018, propre à Bayard, décline spécifiquement la démarche de prévention et de détection des faits de corruption du groupe.
A cet outil s’ajoute un Code de bonne conduite Achats, qui rappelle les règles de conduite professionnelles et personnelles à respecter pour assurer les conditions d’une concurrence loyale et un processus de sélection équitable de nos fournisseurs et partenaires. Il contient des dispositions précises relatives aux conflits d’intérêts, aux cadeaux et invitations.

Le respect des droits de l’homme

Nous accordons une importance particulière au respect des normes internationales en matière de droits de l’homme, notamment de droits du travail, chez nos fournisseurs et partenaires. Dans ce contexte, le respect des principes directeurs des Nations unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme est une condition préalable à toute collaboration.

Ces principes clarifient les modalités de respect, quels que soient les pays où les fournisseurs opèrent, des principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme (édictée par l’ONU en 1948) et des conventions de l’Organisation internationale du travail (OIT), notamment le travail forcé, la santé et sécurité des travailleurs, la discrimination, la représentation des salariés et le dialogue social, les pratiques disciplinaires, les heures travaillées et les rémunérations.

Par ailleurs, les relations que nous entretenons avec notre écosystème se veulent équilibrées, afin de générer le maximum de retombées positives pour chaque partie prenante. Cet équilibre repose sur une discussion transparente, permanente et pragmatique avec nos partenaires et fournisseurs, basée évidemment sur les enjeux économiques, mais également sur les enjeux sociaux et environnementaux.